Guillaume B. Turenne
Guillaume B. Turenne est candidat à la maitrise en urbanisme à l’Université de Montréal. Il contribue à la réflexion sur l’adaptation urbaine face aux changements climatiques comme auxiliaire de recherche auprès d’Isabelle Thomas et comme membre étudiant au sein du Groupe d’Étude sur la Capacité d’Adaptation et la Résilience. Guillaume conçoit la notion d’adaptation comme un mode d’action commun, articulant à la fois les politiques publiques et les communautés urbaines. Ses autres intérêts de recherche s’orientent principalement vers la mobilité durable, le patrimoine urbain, les paysages culturels patrimoniaux, l’agriculture urbaine et l’art urbain. Il est également détenteur d’un baccalauréat et d’une maitrise en histoire de l’art, complétés à l’Université du Québec à Montréal, portant sur les pratiques artistiques actuelles usant de la marche et de la dérive urbaine comme levier de création et de réappropriation collective de l’espace public.
Noé Bünzli
Candidat à la maîtrise en urbanisme à l’Université de Montréal, je suis intéressé par les questions de gouvernance, de démocratie et d’éthique municipales, ainsi que d’aménagement pérenne du territoire. À mes yeux, l’urbanisme est fait d’équilibre, trouvant un juste milieu entre le théorique et la pratique, entre le micro et le macro, entre l’humain et l’humanité. On entend souvent que l’urbanisme est un domaine en crise, car trop général ou trop large. Pourtant, c’est dans son caractère holistique qu’il se révèle pertinent, lorsqu’il propose une vision d’ensemble qui se révèle alors critique et exigeante. Là est la beauté de l’urbanisme, ces moments de courage où affronter l’existant n’est plus un obstacle, mais l’essence de la créativité.
Vincent Cameron Trudel
Bachelier en écologie et diplômé à l’Université de Sherbrooke, je poursuis mon cheminement en tant que candidat à la maîtrise en urbanisme à l’Université de Montréal. Parmi mes intérêts les plus criants se trouve celui de faire de la ville un lieu de conciliation et d’agrément plutôt qu’un lieu de contradiction qui échoue parfois même à être fonctionnel. Pour se faire, je m’intéresse au concept de développement durable, particulièrement au volet environnemental et à l’intégration d’infrastructures naturelles en ville. Je suis convaincu que cette cohabitation avec la nature, combiné au design réfléchi, permet créer des villes plus agréables, fonctionnelles, dynamiques, résilientes, pérennes et du même fait, économiques. L’aspect multifonctionnel et conséquemment multi-bénéfique des infrastructures bleues et vertes représente pour moi l’argument le plus convainquant justifiant ce retour aux sources, où ville et nature ne sont plus en contradiction.
Daniel Chérubin
Daniel Chérubin est diplômé d’architecture et est candidat pour l’obtention de la maitrise en urbanisme à l’université de Montréal. Il s’intéresse essentiellement sur des projets concernant la promotion de la résilience dans les communautés exposées, entre autres à des situations de risques « naturels », notamment à la vulnérabilité des villes face aux aléas liés aux changements climatiques. Il fait des recherches sur les paramètres d’adaptabilité des villes québécoises aux inondations dans une optique de les rendre plus résilientes sous la direction d’Isabelle Thomas.
Nathalie Francès
Nathalie Francès est candidate à la maîtrise en urbanisme de l’Université de Montréal et assistante de recherche au sein du groupe d’Isabelle Thomas. Elle réalise son mémoire de fin d’études sur la sensibilisation des populations urbaines aux risques, à l’international et au Québec. Diplômée auparavant d’une maîtrise (master) en gestion de projets européens de développement local en France, elle a travaillé de 2010 à 2016 au Centre National de la Recherche Scientifique en France et à l’Université de Tokyo au Japon, sur la gestion de projets de coopération internationale.
Alexandre Gagnon
Bachelier en urbanisme de l’Université de Montréal, je poursuis en ce moment des études au 2e cycle en environnement et développement durable. Par mes travaux avec l’équipe GECAR-COPARI, je contribue à renforcer la méthode d’analyse multi-échelles de la vulnérabilité du territoire et des communautés face aux inondations en réalisant notamment des analyses statistiques et en travaillant avec des systèmes d’informations géographiques. Le développement de cette méthode peut permettre de prendre des décisions plus éclairées à chaque étape de la gestion des risques concernant des enjeux tels que l’adaptation aux changements climatiques et aux catastrophes et le développement de villes et de communautés résilientes.
Anna Michetti
Anna Michetti est candidate à la maîtrise en urbanisme à l’Université de Montréal. En 2018, elle obtient son diplôme de premier cycle universitaire en géographie, où elle s’est intéressée à l’étude des changements climatiques et à la dendrochronologie. Elle a rejoint ensuite l’équipe de recherche de Mme Thomas et travaille sur une étude, menée conjointement entre l’Université de Montréal et la Commission Mixte Internationale, portant sur la perception du risque d’inondation dans la Vallée-du-Richelieu.
Catherine P. Perras
Après avoir complété un baccalauréat en gestion internationale à l’Université McGill et exploré le domaine de la coopération internationale, j’ai choisi de poursuivre mon parcours à la maîtrise en urbanisme à l’Université de Montréal. C’est lors d’un stage en gestion de projet urbain au sein d’un organisme communautaire que s’est révélé mon intérêt pour l’aménagement durable de nos villes. Depuis, une expérience en gestion environnementale à la Ville de Montréal m’a poussée à me questionner davantage sur le rapport qu’entretiennent nos sociétés urbaines avec la nature. Étant particulièrement interpellée par les défis de l’adaptation des milieux urbains aux changements climatiques, ma contribution à la recherche porte principalement sur la création d’une méthode d’analyse du retour d’expérience post-inondation dans le contexte québécois
Anciens membres de l’équipe étudiante
Camille Auble
Diplômé du baccalauréat en urbanisme de l’Université de Montréal. C’est un voyage de deux ans autour du monde qui m’a donné gout à l’urbanisme. Elle est comique, quelquefois, la nécessité qu’on a de mettre des mots sur les émotions, les intuitions, pour que celles-ci deviennent réelles. C’est ce qui s’est passé dans mon cas avec le domaine de l’urbanisme. Le baccalauréat m’a permis de préciser mes aspirations vers les domaines de la mobilité, des transports, et, plus récemment, de la gestion des risques. Ce sont ces mêmes domaines qui ont, tout naturellement, orienté ma spécialisation vers la résilience urbaine. Dans l’ère actuelle de changements climatiques majeurs, la prise en compte du risque et la réduction de la vulnérabilité des villes deviennent une priorité. De ce fait, l’aménagement et la planification sont des domaines qui ne peuvent plus faire abstraction des risques, ils doivent être réalisés de manière à améliorer la résilience urbaine.
Elisa Cabley
Elisa Cabley est étudiante à la maîtrise en aménagement spécialisée en gestion de projets d’aménagement à l’Université de Montréal. Elle réalise présentement un mandat d’auxiliaire de recherche sur les inondations qui ont frappé le secteur du lac Champlain et de la rivière Richelieu en 2011. Diplômée en 2016 d’une licence et d’un master I en Génie Urbain en France, c’est pendant cette période qu’Elisa s’est passionnée pour les questions de résilience urbaine dans le cadre d’inondations.
Jessie L. Couture
Diplômée de la maitrise en urbanisme de l’Université de Montréal et détentrice d’un baccalauréat intégré en environnements naturels et aménagés – profil international de l’Université Laval, Jessie Larouche Couture compte plusieurs expériences en tant qu’analyste du territoire (CPTAQ, UdeM, ULAVAL, Ville de Québec). Fière originaire de la ville de Québec, la gestion de l’environnement, la règlementation ainsi que la conservation du patrimoine et des espaces naturels la passionnent. Dans le cadre de son travail final de maitrise, elle a analysé, en collaboration avec le Ministère de la Sécurité Publique, l’Université de Montréal et l’Université Laval, les coûts liés aux dommages causés par les inondations pour le secteur de Saint-Raymond à Portneuf à Québec. Prochainement, elle compte effectuer les étapes nécessaires afin de devenir membre de l’Ordre des urbanistes du Québec et se spécialiser davantage sur l’aspect gestion du territoire.
Jonathan Hume
Candidat au doctorat en aménagement à l’Université de Montréal, formé en urbanisme et en géographie physique, je m’intéresse principalement aux questions liées à la réduction des risques naturels et de la lutte contre les changements climatiques. Notamment, je me penche sur la caractérisation et l’évaluation de la capacité d’adaptation et de l’apport des systèmes d’information géographique dans son opérationnalisation. De plus, ma recherche cible les mécanismes de gouvernance et de financement qui influencent le renforcement des capacités des communautés locales, surtout au Québec. Le but ultime étant une adaptation anticipée et proactive, ancrée dans les valeurs et les besoins des collectivités, l’approche « bottom-up » m’apparaît des plus pertinentes afin d’autonomiser le plus possible les municipalités affectées par les risques et les changements climatiques.
Manon Wolfarth
Je complète ma maitrise en conduite de projet urbain à l’université de Strasbourg par un microprogramme en géomatique et en analyse spatiale à l’université de Montréal. Je suis venu à Montréal élargir mes horizons de travail et compléter ma formation d’une compréhension approfondie des outils SIG. L’urbanisme est une histoire pour tous et de tous, c’est une science complexe et polyvalente. Il est du devoir de l’urbaniste d’en faire comprendre les enjeux et les besoins et les outils de géomatiques le permettent. D’autant plus en résilience urbaine où la prise de décision est primordiale et où l’expertise et la communication de l’urbaniste devient nécessaire et cruciale auprès des acteurs locaux.